Le HTC Médicis intègre désormais la dermoscopie optique à ses bilans préventifs. Cet examen simple, rapide et non invasif permet de détecter précocement les lésions cutanées à risque. Offrez dès maintenant cette avancée à vos employés dans vos programmes de santé.
Le HTC Médicis a fait un choix fort : inclure la dermoscopie optique dans ses check-up médicaux avec quatre médecins généralistes formés à la technique. L’objectif est détecter au plus tôt les lésions cutanées susceptibles d’évoluer en cancer. Cette décision s’inscrit dans une démarche résolument préventive. « En tant que médecins généralistes formés, nous avons un rôle de première ligne. La dermoscopie nous donne les moyens d’être encore plus précis dans l’évaluation des grains de beauté », explique le Dr Agathe Coppée.
Voir au-delà de la peau
La dermoscopie repose sur un outil simple, le dermoscope, une loupe munie d’un éclairage spécifique. Placé sur la peau, il révèle des structures invisibles à l’œil nu : organisation des pigments, vaisseaux, anomalies de relief. L’examen est rapide, indolore et non invasif, mais il change profondément la manière de dépister. « Ce que l’œil nu ne perçoit pas peut être déterminant dans la détection précoce d’un mélanome », insiste le Dr Coppée.
Un mélanome est un cancer agressif qui peut évoluer vite et se propager dans tout l’organisme. Mais diagnostiqué au tout début, il peut être retiré chirurgicalement sans nécessiter de traitements lourds. La dermoscopie offre au médecin la possibilité d’opérer cette première distinction essentielle : rassurer sur les lésions bénignes et orienter rapidement vers le dermatologue quand une anomalie apparaît suspecte.
Or, chacun le sait : il est souvent difficile d’obtenir rapidement un rendez-vous chez un dermatologue. Dans ce contexte, la dermoscopie intégrée aux bilans de santé apporte une réponse précieuse et immédiate, au bénéfice direct des patients.
Quand la vigilance s’impose
Tout le monde peut bénéficier d’un contrôle dermoscopique, mais certains profils méritent une attention particulière. Les personnes à peau claire, celles qui ont déjà eu un cancer cutané ou un antécédent familial, mais aussi les hommes de plus de 50 ans vivant seuls, chez qui la zone du dos échappe souvent à la surveillance, présentent un risque plus marqué. Pour eux, un suivi annuel systématique s’avère crucial. « Un grain de beauté surveillé au bon moment, c’est peut-être un cancer évité », souligne la médecin.
Pour les entreprises, un vrai plus
Proposer la dermoscopie dans vos programmes de prévention, c’est offrir à vos collaborateurs un accès privilégié à un examen rarement disponible en première ligne. Vous contribuez ainsi à renforcer leur santé et leur sécurité, tout en valorisant votre politique de bien-être au travail.
